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Limburg 1940-1945,
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H.P.August Laeven (Guus)
∗ 02-05-1913 Oud-Valkenburg † 23-09-1972 Houthem (59)
- Aide aux clandestins - Fonctionnaires - Valkenburg - Survivant.e.s -
- Marca Laeven, Guus Laeven (1913-1972) liet in 1944 het bevolkingsregister verdwijnen, in Valkenburg 75 jaar bevrijd, p.55
archieven.nl Bevolkingsregister verdwenen - Dr. F. Cammaert, Het Verborgen Front – Geschiedenis van de georganiseerde illegaliteit in de provincie Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog. Doctorale scriptie 1994, Groningen
6. De Landelijke Organisatie voor hulp aan onderduikers B, p.686 - Dolle Dinsdag, Wikipedia • Nederlands • Deutsch • English • Français
- John Odekerken, Gevelstenen in Houthem en Geulhem, St. Gerlach 74
- www.houthem.info Land van Valkenburg 1971
- online-begraafplaatsen.nl kerkhof Houthem, graf Laeven-Dols
- https://www.rijckheyt.nl/archief/resultaat?mizig=100&miadt=62&miaet=14&micode=352-L&minr=3176155&miview=ldt
Guus Laeven, originaire de Houthem, était pendant la guerre chef adjoint du service de la population de la commune de Valkenburg-Houthem. [1]
Vers la fin de la guerre, avec l’aide de Hein Cremers, il fait en sorte que tout le registre de l’état civil de Valkenburg-Houthem disparaisse lorsque l’occupant allemand a l’idée d’utiliser tous les habitants masculins âgés de 16 à 60 ans pour creuser des tranchées. Le 31 août 1944, à 13 heures, le commando KP Sud Limbourg se présente devant une petite porte latérale de l’hôtel de ville. Laeven les fait entrer et les aide à mettre le butin dans des sacs pour être emmené au quartier général du PK à Ulestraten. Laeven est aspergé de chloroforme et feint de perdre connaissance. [1]
Un récit plus détaillé de cet événement est disponible sur ce site web.
La SiPo Maastricht est satisfait de son explication de ce qui s’est passé. Les membres du K.P. avaient pris toutes les cartes personnelles, cinquante cartes d’identité, cinquante timbres de contrôle et cinquante timbres de redevance. Ils ont brûlé le registre de l’état civil au siège du K.P. à Ulestraten[2]. [2]
Cela tombait bien, car quelques jours plus tard, le mardi fou [3], c.à.d. le 5 septembre 1944, les troupes allemandes en retraite étaient cantonnées à Ulestraten. Mais c’est une autre histoire, voir Deux combattants de la Résistance fusillés sur le Cauberg.
Guus Laeven a survécu à la guerre et habitait du 1er janvier 1957 jusqu’à sa mort dans la maison Banda à Houthem, qu’il avait achetée deux ans plus tôt. [4]
Le 28 mai 1971, il fête son jubilé de rubis ( 40 ans ) en tant que fonctionnaire[4]. [5]
Lui et son épouse Florentine Dols sont enterrés au cimetière de Houthem, numéro de tombe : 883986, numéro de cimetière : 2711. [6]
Notes