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1920: Les Schunck à Heerlen perdent leur nationalité et ne le remarquent pas

Après la fin de la première Guerre mondiale, les perdants devaient expier. La monarchie de Danube (Autriche - Hongrie) et l’empire turc tombaient en morceaux. L’Allemagne qui viva une révolution devait céder une série entière de domaines. Les Cantons d’Est en Belgique d’aujourd’hui en faisaient partie. Eupen et Kettenis (à cette époque une commune pour soi) se trouvent ici. Il s’agit principalement de l’eau et du bois (des appuis pour l’exploitation minière de charbon belge) dans la région, dit plus exactement aux Hautes Fagnes.
La plupart de la population des Cantons d’Est est germanophone, autour de Malmedy la majorité parle français. Dans le « référendum » qui fut organisé en 1920, la population pouva décider uniquement de la nationalité personnelle. La population ne fut pas certes très intéressée en majorité à la question de nationalité mais on se sentait mieux à la maison en Allemagne déjà à cause de la langue. Néanmoins, une majorité choisissait la nationalité belge sous la pression massive de l’administration militaire du général Herman Baltia. La crainte la plus importante fut, que les électeurs « allemand » seraient expulsés. Puisque le vote ne fut pas secret.
La famille Schunck à Heerlen ne participa pas à ce scrutin. Arnold mourut en 1905. Son fils Peter grandit à Heerlen et il n’eut pas de relation quelconque à la politique de la région de ses parents. Donc pourquoi participer à un tel vote ? Par conséquence, la nationalité prussienne leur fut refusée, tandis que ni la nationalité belge ni la nationalité néerlandaise leur furent accordées car ils n’en avaient pas demandé. Ainsi ils continuèrent à supposer qu'ils furent de nationalité prussienne, jusqu’aux années trente, quand le fils aîné Pierre Schunck essaya de se procurer de papiers pour pouvoir se marier.