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Limburg 1940-1945,
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Les résistants tombés au Limbourg NL
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Les dates de naissance et de décès de H.J.H. (Hay) Bouten proviennent des archives municipales de Venlo. [1]
Cammaert écrit à son sujet : Velden et ailleurs. Initialement impliqué dans l’aide aux réfugiés alliés. Joue un rôle modeste dans la L.O. régionale. En 1944, Bouten s’engage de plus en plus dans le K.P. et est nommé chef du K.P. dans le Limbourg du Nord. À l’automne 1944, il se retire avec un groupe d’hommes dans les bois près de Baarlo. Après la libération, il rejoint les Stoottroepen. [2.1]
Vous pouvez en savoir plus sur lui au chapitre 7 de Het verborgen Front :
Le 18 février, Bouten avait soutenu le K.P.-Nijmegen lors d’un raid sur le quartier général de la police de Venlo, qui avait d’ailleurs échoué.
… La composition de son K.P. varie en fonction du lieu et de l’action. Il n’y avait qu’un petit noyau de compagnons d’armes permanents. Dans une certaine mesure, Bouten a ainsi perpétué la tradition de Helden. [2.2]
Chef de sous-district de la résistance organisée pour Arcen, Lomm, Velden et Wellerlooi. Chef du Knokploeg Noord Limburg. Membre du groupe de partisans de la forêt de Baarlo à Baarlo. [3]
Les KnokPloegen ( groupes de combat ) du Limbourg trouvaient qu’ils n’avaient pas assez d’armes et que du coté des Alliés, il n’y en avait pas assez non plus. C’est pourquoi Jacques Crasborn reçut l’ordre «…d’attaquer les Allemands avec des groupes de K.P., de leur enlever leurs armes et de les faire prisonniers. » Crasborn, qui se trouvait encore à Swalmen à l’époque, transmit l’ordre à H. Bouten. Ce fut le début d’une aventure qui aurait pu se terminer en tragédie. [2.3]
Le groupe autour de Bouten réussit trop bien à capturer des armes et à faire des prisonniers de guerre. D’abord c’étaient quatre Allemands plus âgés et assez coopératifs, puis plus tard vingt-sept. Tout cela dans les conditions précaires d’un camp forestier.
Veldense-volkscultuur.nl écrit en outre à propos de Hay Bouten : Il organise et dirige des raids sur les bureaux de distribution et des actions de sabotage. Détecte les traîtres et les élimine. Aide les équipages alliés à s’échapper vers l’Angleterre. Capitaine des Stoottroepen, qui font partie des B.S. ( Forces intérieures ). [4]
Il était le chef de l’équipe d’arrestation qui a saisi le chef suprême du NSB du Limbourg à Hamm, en Westphalie ( Allemagne ), le 30 avril 1945. Ce Max de Marchant s’était enfui en Allemagne le Mardi Fou. [5.1][5.2]
Notes