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Les résistants tombés au Limbourg NL
NN
Il était l’un des jeunes hommes de Valkenburg qui possédaient la nationalité allemande ou étaient apatrides et devaient donc combattre dans l’armée allemande en tant que conscrits.
Né à Asche (Northeim, Basse-Saxe), [1.1] et non à Atsch (Stolberg, près d’Aix-la-Chapelle). [1.2]
Note : La version [1.1] de l’article de Jan Diederen est plus récente que [1.2], nous citons donc [1.1] lorsqu’il y a des différences.
Jan Diederen écrit : [1.1]: [1.1]
Il habite dans la Grotestraat avec sa femme Anna Pisters de Valkenburg, née le 20 septembre 1911, et leurs fils Martin (* 1934) et Jean (* 1938). Il tenait une boucherie dans le bâtiment qui abrite aujourd’hui la Brasserie Royale, à côté de l’ancien hôtel de ville (musée). On sait seulement qu’il a disparu depuis le 1er janvier 1945 près d’Auschwitz en Pologne. Son nom figure dans le livre commémoratif du cimetière militaire de Laurahütte-Siemianowice[2]. [2]
Le Volksbund écrit :
Lieu du décès/de la disparition la région de Katowice / Oświęcim / Chorzów / Myslowice / Sosnowiec / Zawiercie.
Selon les informations dont nous disposons, Jean Meyer est porté disparu depuis le 1er janvier 1945. [3]
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Notes