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Personnes | Evénements/ Contexte | Groupes de la Résistance | Villes et Villages | Camps de concentration | Valkenburg 1940-1945 | Les leçons de la résistance |
10 mai 1940Original : 2464 × 3472 pxComment on y parvenait à s’exposer à un aventure si dangereux comme la résistance ? On ne se décidait pas pour la résistance. C’étaient des événements, parfois de petits incidents, qui amenaient des gens comme moi, de monter au créneau. Le résultat était, qu’on avait fait quelque chose pour aider des autres, quelque chose qu’avait été interdit à par l’occupant. De cette manière l’on est parvenu d’une chose à la prochaine. Le 10 mai 1940, vendredi avant la Pentecôte. Un temps rayonnant. Des avions allemands dans le vol de dépression au-dessus de notre maison. Au centre de Valkenburg, les tanks ennemis montent au Cauberg. Nous sommes occupés. Des soldats néerlandais, qui ont fait marcher un vieux canon sur le Cauberg, ont renversé le mastodonte au milieu de la rue pour gêner l’avant-marche et ils ont disparu. Ils sont assis à la pente du bois en face de notre maison, la « Polverbos », et ils ne savent pas, ou aller. Je les vois. Mais maintenant aux armes et les uniformes qu’ils ont laissé. Johan de Wijs, notre chef mécanicien, sut une solution. « Nous brûlerons les uniformes sous le cuiseur à vapeur dans un feu joli, mais ′ » dit Johan « peut-être un jour nous aurons besoin d’urgence des fusils pour chasser ces boches. » Il sut ce qu’il fit : il démontait une pièce. Les armes furent graissées elles-mêmes grossement, elles furent enveloppées avec des chiffons et elles furent enterrées séparément dans le jardin. Les pièces qu’il avait tenues séparément furent graissées, elles furent emballées dans un petite caisse et cachées ailleurs. Il procéda ainsi pour que les fusils soient inutils pour les nazis, s’ils les trouveraient. The reste de cette page: Des calices et des chasubles Album : Résistance zoom 24.350649350649%
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