1940-1945. La résistance dans la province néerlandaise du Limbourg.

Geulle

Le village de Geulle, dans la Meuse, jouait un rôle déjà très tôt dans la guerre en tant que point de départ pour les réfugiés qui étaient amenés à travers la Meuse vers la Belgique dans des barques. Au départ, il s’agissait de prisonniers de guerre francophones qui avaient réussi à s’échapper d’Allemagne [1]. Plus tard, il y eut aussi des Juifs et des membres d’équipages alliés abattus. De l’autre côté de la rivière, ils étaient accueillis par des résistants belges, comme Paul Schoenmaeckers de Rekem avec toute sa famille. À partir de 1943, le chef de la police Koers intervenait également. [2]

1. Dr. F. Cammaert, Het Verborgen Front – Geschiedenis van de georganiseerde illegaliteit in de provincie Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog. Doctorale scriptie 1994, Groningen
   3. Hulpverlening aan uit Duitsland ontvluchte (Franstalige) krijgsgevangenen, III.5. Twente/Achterhoek-Echt-Geulle p.203 ff.
2. Dr. F. Cammaert, Het Verborgen Front – Geschiedenis van de georganiseerde illegaliteit in de provincie Limburg tijdens de Tweede Wereldoorlog. Doctorale scriptie 1994, Groningen
   4. Hulpverlening aan geallieerde piloten en hun bemanningsleden, p.330 ff

Libéré : 1944-09-17